Malgré le titre de sa première chanson, « J’ai déserté du champ de bataille », Miossec est loin d’avoir rendu les armes. Très rock lui aussi, il conclut le festival en beauté. Et se paie même le luxe d’un private joke, « une chanson pour Zebda mais beaucoup plus chiante », pour laquelle il joue avec le politiquement incorrect : « Y’a pas que des saints chez les Tibétains, y’a pas que des fachos sous les drapeaux, y’a pas que des poivrots dans les bistrots… »
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