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Culture

Dominique Annarelli au Congrès international des mosaïstes

Du 15 au 19 octobre, le 16e congrès de l’association internationale des mosaïstes contemporains (AIMC) se tiendra pour la première fois en France, à Paray-le-Monial et Vienne, en présence de 170 artistes du monde entier. Vénissieux y sera représentée par Dominique Annarelli.

Gérard Brand à Paray-le-Monial et Sainte-Colombe, Marco De Luca et Verdiano Marzi à Paray-le-Monial, Clément Miteran à Condrieu… Le prochain congrès de l’AIMC, l’association internationale des mosaïstes contemporains, dont le siège est à Ravenne et qui se réunit pour la première fois en France à Paray-le-Monial et Vienne, réunit la fine fleur de cet art.

Accueillie par la Maison de la mosaïque contemporaine de Paray-le-Monial, le collectif d’artistes Solo Sary — qui gère la galerie Test du Bailler à Vienne — et Mosaïque Magazine, la manifestation qui se déroule tous les deux ans se tiendra donc du 15 au 19 octobre dans la région. Tout d’abord à Paray-le-Monial, du 15 au 17 octobre, puis à Vienne le 18 et à Lyon le 19.

« Nous attendons 170 mosaïstes du monde entier, explique le Vénissian Dominique Annarelli, lui-même pratiquant de cet art depuis une quinzaine d’années. Le 18, ils visiteront Saint-Romain-en-Gal et des expositions à Vienne et, le lendemain matin, se rendront à Fourvière. Là, Michel Patrizio, issu d’une famille de mosaïstes marseillais qui exercent depuis 1903, parlera de son travail de restauration des mosaïques de la basilique. »

Dominique, dont on a admiré les œuvres lors de nombreux salons des artistes du Moulin-à-Vent, exposera à Paray-le-Monial sa Jeune mouette à la perle noire, créée à partir de rebuts de smalti, ces matériaux vitrifiés qui composent les mosaïques. Il écrit dans son blog Domusivum : « J’ai eu la chance de récupérer une énorme caisse pleine de ces éclats, de ces écailles, de trier les plus grands parfois aux formes improbables et impossibles à réaliser, même avec une bonne expérience du tranchet et de la marteline. Puis me creuser la tête pour les emboîter du mieux possible autour de coquillages et de blocs de verre ou d’avventurine, eux aussi issus des ateliers de verriers italiens. »

En montrant cet imposant « tableau » d’un poids de 6,6 kg, Dominique ajoute : « Mon œuvre sera présentée du 15 au 17 octobre à Paray, à la tour Saint-Nicolas, avec 89 autres. Pour moi, c’est une chance ! »

http://domusivum.canalblog.com/

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