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Montempô, la première résidence hôtelière à vocation sociale du Rhône

C’est dans les anciens locaux de l’entreprise Assystem, au 22 de l’avenue Viviani (à quelques encablures de la station de tramway “États-Unis/ Viviani”), qu’a ouvert la résidence Montempô

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C’est dans les anciens locaux de l’entreprise Assystem, au 22 de l’avenue Viviani (à quelques encablures de la station de tramway “États-Unis/ Viviani”), qu’a ouvert la résidence Montempô. Une première dans le Rhône. Le concept de Résidence hôtelière à vocation sociale (RHVS) se situe au croisement de l’hôtellerie, du logement classique et de la résidence services.
Comme dans un hôtel, on y accède simplement (sans frais de dossier, caution ou commission). Mais à des tarifs plus proches du logement classique : de 39 à 29 euros par jour selon un barème dégressif lié à la durée du séjour. Les 77 “studios-hôtel” sont tous équipés d’une kitchenette et d’une salle de bains. Des services comme l’accueil, le Wi-Fi, la blanchisserie, le ménage et le petit-déjeuner sont également proposés.
L’inauguration avait lieu ce 3 juillet, en présence de Michèle Picard, maire de Vénissieux, et d’Olivier Brachet, vice-président du Grand Lyon en charge de l’habitat et du logement social.
Réalisée par Alliade-Habitat (groupe Amallia) avec le concours de l’État, de la Caisse des dépôts et des collectivités locales, la résidence est ouverte depuis le mois de mars. “Le démarrage est très satisfaisant, selon Jean-Jacques Daurat, directeur général de Montempô, nous avons même affiché complet plusieurs jours de suite en juin.” Preuve que la demande est forte.
Les RHVS s’adressent au public des étudiants, apprentis, salariés, employés ou encore stagiaires qui, pour des raisons liées à leurs parcours, ont besoin d’un hébergement transitoire dans la région lyonnaise. Mais également à des personnes rencontrant des difficultés temporaires d’accès ou de maintien dans le logement.
“Cette nouvelle résidence, interface entre les établissements privés et les logements décents de droit commun, offre des opportunités à une jeunesse qui en a bien besoin, s’est félicitée Michèle Picard. (…) Avoir un logement est un élément capital pour accéder à l’emploi ou à une formation. Cette vérité vaut également pour les entreprises et les employeurs qui renoncent à recruter des jeunes faute de domicile fixe. C’est bien cette boucle infernale qu’il faut briser : sans emploi pas de logement, et sans logement pas d’emploi.”

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