La nuit tombe peu à peu et la sculpture s’éclaire, célébrée par la musique de la Barquette de Givors. Avec son nouveau socle noir laissé dans l’obscurité, la Marianne rajeunie semble trôner avec le plus bel effet au milieu des airs. Jean-Charles Monot en profite pour remercier la direction du Patrimoine, les services des Éclairages et des Espaces verts de la Ville.
“Enlevez une sculpture, effacez une fresque ou une peinture d’un parc ou d’une place de Vénissieux, remarque le maire Michèle Picard, et vous verrez que vous perdrez bien plus qu’une œuvre, vous perdrez de l’art sans ostentation, celui de l’expression d’une mémoire collective et d’une mémoire partagée des lieux.”
Ce budget mis dans l’art, le maire le revendique : “Démocratiser la culture, la faire partager par le plus grand nombre, la rendre accessible à tous et toutes, c’est le combat que mène notre ville depuis des décennies (…) Pour le capitalisme financier, tout ce qui relève des sciences humaines reste superficiel. En Europe, le rabot de la rigueur sur les budgets Culture des états est déjà à l’œuvre (…) Au pied de cette République des peuples, rappelons-nous que l’éducation, la création et l’art ne sont pas et ne seront jamais des valeurs marchandes.”
Christophe GIRARD
26 février 2012 à 19 h 29 min
Comme nous l’a enseigné Alexandre Soljenitsyne, il faut condamner tous les matérialismes : le matérialisme de l’hyper-libéralisme, comme le matérialisme marxiste.
L’expérience marxiste montre que chaque fois que le pouvoir était aux mains des communistes, l’art était conçu par ces régimes comme un moyen utilitaire soumis à l’idéologie. A ce titre, l’art était contrôlé et devait « servir » la révolution ou « servir » le régime (tout artiste n’ayant pas compris cela était réduit à néant, voir arrêté, et même supprimé). L’art n’était donc jamais reconnu pour lui-même.
Mme le Maire semble vouloir faire un peu vite l’impasse sur ces fondements de l’idéologie qu’elle promeut… Encore une fois, le mieux aurait été de laisser les idéologies de coté pour célébrer cet événement.
Christophe GIRARD
26 février 2012 à 19 h 29 min
Comme nous l’a enseigné Alexandre Soljenitsyne, il faut condamner tous les matérialismes : le matérialisme de l’hyper-libéralisme, comme le matérialisme marxiste.
L’expérience marxiste montre que chaque fois que le pouvoir était aux mains des communistes, l’art était conçu par ces régimes comme un moyen utilitaire soumis à l’idéologie. A ce titre, l’art était contrôlé et devait « servir » la révolution ou « servir » le régime (tout artiste n’ayant pas compris cela était réduit à néant, voir arrêté, et même supprimé). L’art n’était donc jamais reconnu pour lui-même.
Mme le Maire semble vouloir faire un peu vite l’impasse sur ces fondements de l’idéologie qu’elle promeut… Encore une fois, le mieux aurait été de laisser les idéologies de coté pour célébrer cet événement.
Christophe GIRARD
26 février 2012 à 19 h 29 min
Comme nous l’a enseigné Alexandre Soljenitsyne, il faut condamner tous les matérialismes : le matérialisme de l’hyper-libéralisme, comme le matérialisme marxiste.
L’expérience marxiste montre que chaque fois que le pouvoir était aux mains des communistes, l’art était conçu par ces régimes comme un moyen utilitaire soumis à l’idéologie. A ce titre, l’art était contrôlé et devait « servir » la révolution ou « servir » le régime (tout artiste n’ayant pas compris cela était réduit à néant, voir arrêté, et même supprimé). L’art n’était donc jamais reconnu pour lui-même.
Mme le Maire semble vouloir faire un peu vite l’impasse sur ces fondements de l’idéologie qu’elle promeut… Encore une fois, le mieux aurait été de laisser les idéologies de coté pour célébrer cet événement.
Christophe GIRARD
26 février 2012 à 19 h 29 min
Comme nous l’a enseigné Alexandre Soljenitsyne, il faut condamner tous les matérialismes : le matérialisme de l’hyper-libéralisme, comme le matérialisme marxiste.
L’expérience marxiste montre que chaque fois que le pouvoir était aux mains des communistes, l’art était conçu par ces régimes comme un moyen utilitaire soumis à l’idéologie. A ce titre, l’art était contrôlé et devait « servir » la révolution ou « servir » le régime (tout artiste n’ayant pas compris cela était réduit à néant, voir arrêté, et même supprimé). L’art n’était donc jamais reconnu pour lui-même.
Mme le Maire semble vouloir faire un peu vite l’impasse sur ces fondements de l’idéologie qu’elle promeut… Encore une fois, le mieux aurait été de laisser les idéologies de coté pour célébrer cet événement.