Pour Yvan Benedetti, interrogé par l’AFP, cette convocation, prévue le 16 juin prochain, “s’inscrit dans une véritable purge”. L’élu vénissian est en effet un proche et un partisan de Bruno Gollnisch, le rival malheureux de Marine Le Pen. Il aurait prononcé ces mots, se défend-il, “sur le ton de l’humour et du sarcasme pour souligner les caricatures” dont est selon lui victime l’Œuvre française. Les étudiants de l’ESJ, cités par nos confrères de Nord éclair, assurent pour leur part que les propos d’Yvan Benedetti ne souffraient d’aucune ambiguïté et qu’ils n’ont pas été prononcés sur le ton de la rigolade.
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