“Vénissieux porte la mémoire de tous ceux qui ont permis, le 2 septembre 1944, que le comité de libération de Vénissieux hisse le drapeau tricolore sur le fronton de l’ancien mairie, déclarait Michèle Picard. Vénissieux s’est libérée d’elle-même, anticipant l’arrivée des troupes alliées. (…) C’est le signe d’une volonté collective, d’une volonté vénissiane de refuser la soumission, de refuser l’oppression. Cette volonté doit nourrir notre citoyenneté, notre engagement au quotidien, elle doit nourrir notre détermination à lutter contre les injustices, l’intolérance et la montée des populismes.”
Deux gerbes de fleurs ont été déposées devant le monument de la Libération du parc Louis-Dupic. “L’Histoire, c’est le socle, c’est la fondation, concluait le maire. Si ce socle se fissure, on crée les conditions de l’ignorance, on crée de l’oubli, on favorise la répétition des erreurs du passé.”
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