Un an après un succès mémorable face à Michal Figlak, à Paris – son plus convaincant combat depuis ses débuts en MMA qui l’avait relancé dans une installation durable en UFC – Farès Ziam a été de nouveau conquérant, vaillant et gagnant. Le 22 juillet dernier, à l’occasion de l’UFC Fight Night de Londres, l’ancien Vénissian de 26 ans s’est imposé face à Jai Herbert, un enfant du pays. Dans un combat toujours en trois reprises, “Smile Killer” l’a emporté par décision unanime (4-2). Sans se montrer totalement satisfait comme il l’a fait savoir : “Je ne suis pas très fier de ma performance, je trouve que je l’ai trop respecté. J’aimerais bien finir mes combats avant la limite, avancer un peu plus. J’étais un peu trop hésitant parfois. Mais j’ai quand même gagné donc ça va. L’essentiel est fait. Merci à mon équipe en or, mon préparateur physique et mon nutritionniste.”
Un bémol tout de même. Lors du combat, Farès s’est cassé le pied en tentant un low-kick (coup de pied bas) lors du 3e round, une fracture qui le contraint à se déplacer avec des béquilles. Et qui l’empêchera de participer, le 2 septembre, à la 2e édition de l’UFC de Paris.
À voir : le résumé du match Ziam/Herbert et le portrait de Farès Ziam réalisé par RMC Sport.
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