Comment définir ce musicien autodidacte qu’est Seth XVI si ce n’est par la voix ? Que l’on remarque forcément dans ses compositions qui allient l’électronique à l’acoustique, piano et guitare en tête.
“La technologie, apprend-on de lui dans son dossier de presse, si elle est empreinte d’humanité, compose un tout cohérent. Alors Seth XVI brouille les pistes, sample sa voix, la trafique habilement pour en faire les chœurs jusqu’à ce qu’on ne sache plus si c’est la même personne qui chante ou non.”
Lauréat du Ninkasi Music Lab, Seth XVI, qui est tout autant inspiré par l’Australien Chet Faker, les Britanniques de The xx, le Londonien Tom Misch que par le Nigérian Fela Kuti ou le duo franco-venezueliano-cubain Ibeyi, a donné à entendre ses mélodies entre autres au Ninkasi Gerland, à Jazz à Vienne et au festival Woodstower.
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