L’immeuble compte 30 logements, du T1 bis au T 5, pour répondre aussi bien aux demandes des jeunes et des familles que des anciens. 95 % des locataires qui vont intégrer la résidence ont des revenus se situant en dessous des plafonds du logement social. “Je crois que l’on peut parler d’un travail exemplaire sur les plans urbain, social et environnemental”, s’est félicitée Évelyne Ebersviller, adjointe au maire en charge du logement et présidente de la Sacoviv.
Le maire, Michèle Picard, a replacé cette inauguration dans un contexte plus large : “Ambroise-Croizat II n’est pas un point d’arrivée, mais une nouvelle étape de la politique de logement social menée par les équipes municipales de Vénissieux (…). C’est un écho supplémentaire à tout ce qui s’est construit et continue de se construire dans notre ville.” Avant de souligner les insuffisances de la politique menée par l’État : “Le logement social est devenu une urgence capitale, et l’État aurait dû le décréter chantier national depuis bien longtemps (…). Au lieu de quoi, le solde négatif de constructions a été en 2008-2009 de 150 000 logements.”
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