“C’est une excellente illustration du potentiel économique de la francophonie, a déclaré Yamina Benguigui, qui a été accueillie par le maire, Michèle Picard, et plusieurs autres élus de la majorité municipale. À mon arrivée au ministère, j’ai été frappée par le fait que nous n’avions pas de vision de cet espace commercial. Les pays africains connaissent une croissance très forte, et la France a évidemment un rôle important à jouer. Face aux concurrents économiques, en particulier les Chinois, la langue française peut être un avantage considérable.”
La ministre a par ailleurs rappelé le plan lancé à l’automne dernier visant à former 100 000 professeurs de français pour l’Afrique. Ces professeurs seront formés par le biais du réseau culturel français et deviendront eux-mêmes formateurs. Pour financer cette action, la France engage 1,5 million d’euros par an sur 3 ans.
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