
Laurent Saint-Martin, aux côtés de Pierre Oliver (conseiller régional et maire de Lyon 2e) et Gilles Gascon (maire de Saint-Priest)
Après avoir effectué un tour de piste au volant de l’imposant et silencieux E-Tech T (44 tonnes), le ministre délégué au commerce extérieur a salué la bonne forme du constructeur français. En 2025, Renault Trucks continue à conquérir de nouveaux marchés à l’export tout en développant sa gamme électrique, aujourd’hui considérée comme la plus étendue d’Europe. « Renault Trucks coche toutes les cases, a estimé l’ancien membre du Parti socialiste. Cette entreprise, filiale du Groupe Volvo, démontre qu’on sait développer des partenariats industriels en Europe. Elle développe une très belle filière à l’export, puisque 60 % de sa production est vendue en Europe et dans d’autres pays, comme le Chili ou l’Indonésie. Renault Trucks représente le savoir-faire français et investit dans la transition écologique. En 2030, la moitié de ses véhicules produits seront électriques. »
Vers la fin du diesel en 2040
Après 130 ans de règne du diesel, Renault Trucks mise tout sur le transport neutre en carbone, bien guidé par les exigences réglementaires en matière d’émissions de CO2. En 2040, la marque espère avoir définitivement tourné la page du moteur diesel en le remplaçant par des batteries électriques, et plus marginalement, par des piles à combustible hydrogène et des biocarburants.
« Nous avons reçu 19 millions d’euros en soutien à la Recherche et Développement dans le cadre de France 2030, a précisé Karine Forien, vice-présidente chargée de la stratégie, du développement durable et de la communication. Et nos clients bénéficient d’une aide à l’achat par camion comprise entre 25 000 et 55 000 euros. Nous avons également besoin des pouvoirs publics pour déployer les infrasctructures de recharge en France et en Europe. »
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