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Deuxième succès de Farès Ziam en MMA

Farès Ziam, le « Smile Killer » natif de Vénissieux, s’est offert sa 2e victoire de rang, samedi 12 juin, à la Gila River Arena de Glendale, en Arizona dans le prestigieux championnat élite UFC.

Farès Ziam, le « Smile Killer » natif de Vénissieux, s’est offert sa 2e victoire de rang, samedi 12 juin, à la Gila River Arena de Glendale, en Arizona dans le prestigieux championnat élite UFC.

Après un premier succès obtenu il y a huit mois face à l’Australien Jamie Mullarkey, Farès Ziam, le « Smile Killer » natif de Vénissieux a enchaîné, dans la douleur, en s’offrant sa 2e victoire de rang, samedi 12 juin, à la Gila River Arena de Glendale, en Arizona. Opposé à Luigi Vendramini, Brésilien comme son nom ne l’indique pas forcément, Farès s’est imposé sur décision majoritaire, deux juges l’ayant déclaré vainqueur (29-28) alors que le 3e s’en tenait à un match nul. Après avoir affiché une belle maîtrise sur les deux premiers rounds, « Smile Killer » a subi les assauts et la fougue d’un adversaire qui se savait en retard dans le décompte intermédiaire, et qui s’illustrait sur des larges crochets suivis d’un redoutable travail au sol lors de la dernière reprise.

Ce qu’a admis l’ancien Vénissian sur son site internet. « J’ai facilement géré les deux premiers rounds mais j’ai perdu le 3e : il m’a placé un bon crochet qui m’a fait perdre mes appuis, j’ai trébuché et il m’a emmené au sol. J’ai été agréablement surpris par l’ambiance tout au long de mon combat, j’ai senti que le public américain était derrière moi, donc c’était plutôt cool. Je suis satisfait de cette deuxième victoire consécutive obtenue à l’UFC, et je la dédie à la Région, à mes coaches et à mon manager. »

Avant la rencontre, Farès Ziam n’avait pas manqué de souligner sa méfiance face à un adversaire plus petit que lui (1,73 m contre 1,82), mais très accrocheur. « J’ai l’avantage de l’allonge, mais je vais devoir me méfier de son travail au sol, il n’a perdu qu’à une reprise pour neuf victoires. » Bien qu’obligé de combattre assez loin de la France (Abu Dhabi, États-Unis), Farès peu compter sur un nombre considérable de supporteurs. Le dernier en date n’est autre que Karim Benzema qui, lors d’un passage sur Lyon en mai dernier, avait tenu à faire la pause avec lui…

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