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Plusieurs centaines de personnes rassemblées sous les « Couleurs de Palestine »

Vendredi 31 octobre, la salle Joliot-Curie a vibré à l’occasion de la journée de solidarité avec le camp de New Askar, près de Naplouse

Journée de solidarité très suivie

Vendredi 31 octobre, la salle Joliot-Curie a vibré à l’occasion de la journée de solidarité avec le camp de New Askar, près de Naplouse

En matinée, l’association Jénine et le Collectif 69, deux des organisateurs, s’affairaient à préparer les lieux, notamment avec la mise en place de stands de produits 100% palestiniens : objets artisanaux en bois d’olivier, dattes, céramiques, zaatar (thym local), savons, sandales… Des danseurs répétaient dans un coin de la salle, la salle s’éveillait peu à peu, avant que  le public n’afflue en masse dans l’après-midi.L’entrée était à prix libre, et solidaire à partir de cinq euros. Pas de quoi ruiner les invités, un geste accessible pour soutenir la cause et pour appeler à la paix.

Placée sous le signe des « Couleurs de la Palestine », cette journée avait de quoi séduire par son. programme varié et chargé : lectures de textes et de poèmes autour d’un thé, expo photo, table ronde  sur la « culture de la résistance et la culture comme résistance ». Parmi les invités, des intervenants de premier ordre, à commencer par le réalisateur Roland Nurier, auteur de Yallah Gaza (2023). Ce scénariste avait déjà produit en 2019, « Le Char et l’Olivier », un éclairage sur l’histoire de la Palestine mêlant interviews de personnalités internationales expertes sur ce sujet, et témoignages de citoyens palestiniens et français.

Un hommage a été rendu par le maire de Vénissieux à Blandine Chagnard, présidente de Jénine Vénissieux, décédée en 2013. Blandine avait proposé dès 2011 que l’association s’occupe d’enfants blessés par balles, à l’image de Ghadir, qui avait bénéficié d’une opération chirurgicale de l’œil à Lyon.

Plus tard, neuf jeunes artistes venus du camp d’Askar ont offert un spectacle de danse de groupe, le « Dabke », une chorégraphie où les artistes se tiennent en ligne droite ou en demi-cercle, en se serrant les mains et épaules pour indiquer leur cohésion, un moyen d’exprimer son identité culturelle. S’en est suivi un concert du groupe Almo, « venu pour faire voyager les convives au cœur du Moyen-Orient. »  

Des débats suivis, ici avec le réalisateur Roland Nurier (2e à partir de la droite)

 

Des intervenants de qualité pour la table ronde sur « culture de la résistance et la culture comme résistance ».

 

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