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Un pôle d’entrepreneurs LYVE s’installe à Parilly

La Métropole de Lyon est en train de construire une structure d’accompagnement destinée aux jeunes entreprises sur la plateforme industrielle Usin Lyon Parilly.

Vue intérieure du pôle d’entrepreneur·es LYVE Lyon Ouest, à La Duchère © Olivier Chassignole – Métropole de Lyon

LYVE (Lyon ville de l’entrepreneuriat), déjà enraciné à Givors, à La Duchère et à Neuville-sur-Saône depuis 2019, essaime cette fois-ci à Vénissieux. Cette pépinière, la Métropole de Lyon l’annonçait depuis quatre ans. La structure d’accompagnement, en cours de construction sur l’ancien site de Bosch, le long du boulevard Marcel-Sembat, s’élèvera sur trois niveaux. Le bâtiment neuf de 1 800 m2 intègrera neuf ateliers, 17 bureaux, et un espace de travail en commun.

Cet écosystème devrait intéresser les créateurs d’entreprise et les jeunes pousses du territoire. Les loyers y sont modérés. L’offre comprend un bouquet de services adaptés à tous types de projets : formations, mentorat, animations et accès à un réseau de partenaires.

La construction comprend une partie dédiée à la production. L’arrière du bâtiment abritera des bureaux.

« Si LYVE s’installe à Vénissieux, c’est parce qu’on a observé de grands besoins dans ce bassin de vie, justifie Émeline Baume, vice-présidente (EELV) de la Métropole déléguée à l’économie. Il fallait donner l’opportunité aux Vénissians, aux Saint-Foniards et à d’autres d’avoir un lieu où il est possible de créer son entreprise tout en bénéficiant de services supplémentaires. C’est la solution idéale pour se concentrer sur le développement de son activité et d’éviter de courir à droite et à gauche. L’accompagnement convient aussi bien à une activité productive qu’à du conseil, ou encore de la formation. »

Des loyers progressifs sur trois ans

Dans un premier temps, 26 entreprises pourraient s’installer. Une rotation importante est attendue. L’idée est d’incuber un projet, de le tester et de développer l’entreprise. « Les loyers sont progressifs, précise Émeline Baume. On commence à 20 ou 30 % en dessous du prix du marché la première année, puis à -10 % la deuxième. Ce n’est qu’à la troisième année que le loyer correspond au prix du marché. »

L’Union européenne (2,6 millions d’euros), l’État (1 million d’euros) et la Région Auvergne Rhône-Alpes (500 000 euros) co-financent l’essentiel du projet, dont le coût global s’élève à 7,5 millions d’euros.

 

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